L'archange Michel, chef des forces du ciel, est avec nous La spirale multicolore tourne Un ange vous envoie son amour sous la forme d'un coeur

Le Festival Pranique





Personnage envoie un éclair d'énergie


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Compte-rendu public

Photo de présentation avec soleil rayonnant

Point de vue personnel :
Et oui je vais me lancer des fleurs, car je m'aime avant toute chose : ce fut méga-génial, quelles énergies !
D'abord quel soulagement et quel plaisir de pouvoir ne boire que de l'eau pendant 10 jours, de pouvoir exhiber son ventre vide en creux ou des moments de faiblesse ou d'irritation passagère sans pression pour manger quoi que ce soit, ni incitation ni tentation : bon c'est vrai, et je peux le dire maintenant, qu'il y avait la baraque à frites à la plage, les mûres sur le talus, et une fois le dernier jour l'odeur du riz cuit de l'enfant ! Mais je pense que la majorité à joué le jeu, et celles et ceux qui se sont remis-e-s à manger nous l'ont dit lors des deux points santé journaliers, et même décrit leur reprise alimentaire digestive pour nous la faire partager.
Première déception pour moi : les 12 personnes inédiques, dont plusieurs le sont devenues avec l'aide de mes conseils, que j'avais invité, ont toutes annulé leur participation, sauf finalement Djouel qui m'a dit qu'il venait à la fin du festival. Ils et elles sont libres comme l'air ! Ce fut un signe de carte blanche pour moi, pour créer nous-même cette nouvelle culture sans trop être influencé-e-s par les inédiques.
Le Festival Pranique s'est mieux passé que mes précédents Fruktifests comme je l'avais imaginé.
Et encore plus de miracles que dans les Fruktifests : des personnes sont devenues inédiques suite à ce Festival Pranique.
27 personnes passèrent le premier samdim, 30 personnes le deuxième samdim et 20 environ entre les deux.
Au total 25 hommes et 17 femmes, soit 42 adultes, directement intéressé-e-s par l'inédie passèrent. Dont un grand nombre de scientifiques : trois ingénieurs, un physicien qui travaillait comme chercheur en physique, une docteur en sciences, un génie en informatique de la Silicon Valley, etc.
Photo devant le feu



Il y avait une possibilité de manger des aliments digestifs, discrètement sur l'aire de stationnement des véhicules à proximité par exemple si l'on avait trop faim, ou si l'on avait des obligations professionnelles prochaines et qu'on ne souhaitait éviter de risquer de perdre trop de poids. Mais il n'y avait aucune nourriture digestive sur site en vue : plus d'harmonie, toujours plus d'amour, moins de discussions inutiles centrées sur la nourriture digestive terrestre, mais aller à l'essentiel, trouver l'énergie de vie, même au milieu du désert, du champ de bataille ou du patriarcat, la comprendre, trouver la joie et la confiance en la providence, la sentir, la transformer, accepter et apprécier la différence d'autrui, l'expression du divin à travers lui ou elle..
J'ai vécu tout ce que je voulais vivre. Je me suis senti encore une fois de plus le gardien du Paradis, le gardien de la porte de la 5ème dimension, faisant le grand écart entre les forces du ciel et celles de la Terre.
Mais ma mission s'arrête là, en ce qui concerne l'organisation d'écofestivals paradisiens (fruitariens et respiriens) et de séjours de vacances écologiques, gratuites, nourritures, enseignements et animations artistiques et sportives incluses.
Je suis arrivé à un point de pivot destinal, karmique, pour moi.
C'est merveilleux, je suis libéré de tout, de toute obligation aussi.
Confronté à la peur, j'ai montré mon courage et l'ai transmuté en positivité.
J'ai enterré à la fin de la cérémonie du début, un morceau de carton avec écrit dessus le mot "jeûne". J'ai donc détruit le jeûne pour mieux lui redonner sa place tant méritée. En fait il peut aussi être envisagé positivement et sans peur.
C'est dommage que les religions en ces temps modernes l'abandonnent, mais en ces temps d'abondance matérielle, de confort, de redoutables technologies chimico-agro-alimentaires de la gourmandise, il est peut-être difficile de garder ses fidèles si on leur demande trop d'efforts, trop d'ascétisme, trop de dénuement. Pourtant le Festival Pranique 2013 a prouvé qu'on peut combiner fête/développement-enrichissement personnel et boire que de l'eau.
Je n'ai pas eu le temps ni l'énergie de travailler directement en tant que chamane, trop occupé par les questions matérielles d'organisation, cependant le projet que je voulais voir exister a pris corps, et tout le monde a pu sentir cette énergie de vie, cette énergie divine se manifester, et ... certainement nous nourrir.
Chaque jour nous nous élevions en sensibilité et en positivité pour mieux ressentir ces énergies subtiles.
Chaque jour les témoignages d'inédie étaient de plus en plus émouvants et poignants, pour terminer dimanche avec la présence incroyable de Djouel.
Le vendredi 23 août, détendu dans le jaccuzzi de l'Aquagolfe, les yeux fermés, Jésus-Christ et sa maman la vierge Marie sont apparus à ma conscience, et m'ont confirmé que ce Festival c'était "le bon chemin".
Merci à tou-te-s les participant-e-s d'avoir rendu cet évènement possible.
Merci à notre concertiste Hocine qui nous a, à la fin de son merveilleux concert, à ma demande, joué "De la paix, de l'amour sur la Terre" que certain-e-s d'entre nous avons chanté environ 100 fois : Hocine
Merci à ceux et celles qui ont donné des cadeaux, des dons, qui ont aidé, ou simplement été là avec leur sourires et leurs JOIES.
J'ai été surpris de la grande diversité : jeunes, séniors, hommes, femmes, sans le sou, fortuné-e-s, personnes très intellectuelles, personnes très manuelles, handicapé-e-s, artistes, personnes très mystiques, d'autres moins mystiques, bricoleurs, anarchistes, capitalistes, chrétien-ne-s, écolos, etc.
J'ignore en fait les croyances de la plupart mais ce qui est beau est que nous avons tou-te-s parlé, ou en tous cas compris, le même langage universel et essentiel : celui de l'énergie de vie, de l'énergie divine, de l'énergie vitale, du prana, peu importe le nom qu'on lui donne, nous l'avons expérimenté dans nos corps.
J'ai adoré la puissance intellectuelle renversante de Djouel, chaque année de plus en plus fort !
J'ai adoré prier une fois avec 6 autres, le Notre Père, légèrement adapté, pour qu'il soit encore plus divin, et littéralement mangé.
J'ai adoré les leçons de yoga de Yv, auxquelles hélas, à cause de mes responsabilités je n'ai pu aller à toutes.
J'ai adoré le cours de sunyoga de Seb qui m'a fait découvrir l'énergie de vie les yeux fermés : points bleus au lieu d'être transparents, sur quadrillage gris.
J'ai adoré les répliques d'Arnaud, le blond, pour le différencier du Arnaud brun, qui m'ont fait avancer dans mon expression et dans la confiance en moi, dans mon état de conscience.
J'ai adoré la montée en sensibilité du groupe.
J'ai adoré être privé du premier cercle de discussion où chacun-e s'est présenté au groupe le 17 août, ce fut sans doute le moment le plus important du festival, que j'ai donc raté, car je devais finir d'installer cette douche de plein-air, mais je me suis dit que cela était un signe libérateur et me ré-apprend que ce chemin est unique et intime, que j'en ai finalement rien à faire du chemin des autres pour mon évolution personnelle, que je ne dois compter que sur moi-même, que c'est à moi de jalonner et de tracer mon chemin, que mon effort de démystification avec mes sites internet est (quasi-)clos.
J'ai adoré voir plein de petit-e-s Bouddhas (c'était nous !) méditer dans leur coin près du ruisseau, ou carrément dans le ruisseau, dans la forêt.
J'ai adoré endurer la critique indirecte de "soixante-huitard" (laxiste, spontanéiste).
J'ai adoré voir les gens se re-saisir, s'organiser et recadrer les choses pour éviter que l'on "s'éparpille" dans des discussions infinies.
J'ai adoré entendre "y en marre des discussions, c'est pompant",
et c'est vrai que ça pompait dingue de l'énergie les discussions avec le mental et les égos, même si on a progressé dans leur fonctionnement et perfection, et qu'on s'y soit régalé aussi, enfin certain-e-s d'entre nous.
Heureusement, après ces longues discussions, on allait en début d'après midi à la plage, ou au ruisseau en forêt, ou au point internet, etc.
J'ai adoré comprendre l'envie de certain-e-s de "plus de trucs de travail intérieur à la Osho", d'étreintes gratuites, de se prendre par les mains en cercle.
J'ai eu enfin une course à pied que je désirai tant, sur la plage,
et une séance unique de musculation à la Genesis Sunfire que je désirai tant pourtant faire chaque jour.
J'ai adoré qu'on nourrisse et fasse vibrer nos quatre corps :
physique en le bougeant, en le faisant danser, faire du yoga ou Qi-gong, en l'exposant à la chaleur, à la mer ou au ruisseau,
émotionnel avec les danses en rond, étreintes et chants de type "om", Shiva Shambo ou Greensleeves,
mental avec les discussions et immersions dans la nature, et
spirituel avec la simple participation de chacun-e à cet évènement, avec nombre de mystiques présent-e-s, d'exercices et de voies de proposés.
J'ai adoré le fait que certains s'opposent au feu du soir et que d'autres le souhaitent. Le débat doit être lancé. C'est la vie.
Certain-e-s se sont servi dans le menu des 18 recettes, mais nous en avons aussi fait en commun, j'ai insisté pour qu'on commence par la prière de Don Miguel Ruiz que j'appelle la prière de l'autoamour. Nous avons fait aussi le chant des voyelles. Les appétits de nourritures immatérielles de chacun-e furent très différents, c'est la biodiversité, et le cheminement unique de chacun-e.
Evidemment pour nourrir et "guérir" tout le monde il aurait fallu un séjour de trois mois, voire trois ans, d'où la discussion sur les collocations et écovillages pro-inédie, car la dynamique de groupe pro-inédie accélère ces processus de "guérison", de transmutation !

J'ai adoré les débats infiniment délicats sur notre rapport aux autres animaux, et finalement sur l'articulation amour divin, magie divine de la vie et éthique d'origine humaine.
J'ai aimé la défense radicale de nos frères animaux de Yv, et que personne n'osa critiquer son emploi du mot "cannibale" pour désigner les gens que moi j'appelle encore les "omnivores". Ceci dit, il me semble que le phénomène de l'inédie rassemble aussi quelques omnivores qui n'en ont rien à faire, ou pas, de quelque éthique humaine que ce soit, ou de la souffrance animale.
De même qu'il y a des végétaliens qui n'en ont rien à faire des animaux et qui chassent juste pour l'exercice physique et le plaisir de la traque ou de tuer.
Il est intéressant de noter qu'Isabelle Hercelin et Djouel avec leur amour illimité, finalement libèrent les gens de leur végétarisme, de leur opposition duelle aux omnivores, de leur système d'éthique, même si pour moi c'est le seul point d'Isabelle avec lequel j'ai encore du mal.
J'ai adoré qu'on botte en touche dès le début du festival la discussion sur les termes et définitions employés pendant tout le festival.
J'ai adoré être frustré de ne pas avoir joué au foot, sauf avec Kara, et finalement c'est ça que je voulai avec le foot : retourner en enfance.
J'ai adoré Jésus-Fruist, toujours fidèle à lui-même, à son énergie si dévouée, si engagée à faire le bien, à soutenir les évènements écolos, inclusifs et gratuits.
J'ai adoré Kara, 19 mois, qui nous empêchait parfois dans nos discussions inutiles d'adultes et nous montrait le vrai chemin de la vie : s'amuser, parler aux fées et aux anges, pas se prendre au sérieux.

Merci donc de m'avoir permis de tester avec succès ma nouvelle invention, qui est l'aboutissement courageux de mes Fruktifests et de toute ma vie, et qui va bien au delà du paradisianisme de Johnny Lovewisdom : le séjour festif inédique.


Envole-toi, organise des séjours festifs inédiques !

Dommage que j'ai échoué à cause de la barrière du langage à faire venir Olga Podorovskaya pour enrichir encore plus notre Festival. Il faut absolument que je la rencontre. Qui parlerait russe d'entre vous ?



Autres compte-rendus, des discussions, témoignages et ateliers :
Pranisme. Ecovillages et collocations pro-inédie. La peur. Image que l'on veut donner. Une Rencontre Pranique en 2014 ? Retraite en chambre noire ou grotte. Faut-il vouloir une explication scientifique moderne du phénomène ? Entités. Tantra et vie sexuelle/reproductive. Toumo. Amaroli. Le lavement. Sunyoga. Reprise alimentaire.
A VENIR...

Photo jeu de guitare devant le feu



Presque chaque soir il y avait un feu autour duquel nous discutions, nous nous réchauffions, certain-e-s d'entre nous (2, 3, 4 ou 5 en général parfois 10) dansaient nu-e-s ou vêtu-e-s, parfois en rond, au son de la harpe celtique, de la guitare, des tambours, des didgéridoos, etc. Un soir où j'avais invoqué la venue de la fée électricité (et sorti ma chaine Hifi) voici les musiques (douces, compatibles avec un état de jeûne) que j'ai essayé de passer, en essayant de faire plaisir à tou-te-s et de rester francophones :
Un peu de musique positive style Osho : Veeresh and the Humaniversity, mais j'ai dû vite l'arrêter, être à l'eau rend très sensible à l'environnement musical : Veeresh j'aurai dû le mettre en atelier danse de transe l'après midi, pas en soirée de détente, finalement il n'y a jamais eu de danse de transe l'après midi, car cela nous aurait peut-être pris trop d'énergie ?
Pourtant les phénomènes et sensations mystiques sont démultipliés quand on est à l'eau depuis 10 jours et dans la joie.
Mais j'ai réussi à mettre des chants francophones positifs comme celui de Jean-Jacques Goldman : J'irai au bout de mes rêves.
Yannick Noah : Aux arbres citoyens. Ose. La voix des Sages.
Laurent Voulzy : Le pouvoir des fleurs. Le soleil donne.
Celtic women : Fairies.
Israel Kaʻanoʻi Kamakawiwoʻole : Somewhere over the rainbow.
M People : Search the hero inside yourselves (cherche le héro, l'héroïne en toi).
Des anonymes d'un rassemblement Arc-en-ciel : "Can we all sing our heart song".
Chants spirituels indiens : gayatri mantra, etc.
Chants spirituels amérindiens.

Je regrette de ne pas avoir pu passer :
-Quelques musiques dévotionnelles chrétiennes.
-Jean-Jacques Goldman : Envole-moi.
-et son chant On ira.
-L'Esprit Arc-en-Ciel de l'Orégon : We shall lift each other up higher and higher que je traduirai par : "De nos coeurs nous nous soulèverons chacun-e mutuellement de plus en plus haut, nous nous redonnerons le moral toujours plus haut, nous nous redresserons la tête".
-L'Esprit Arc-en-Ciel de 1997 : We are one in harmony qui signifie "Nous sommes Un-e en harmonie, chantant en célébration, chantant en amour."
-Et plein d'autres musiques.
Mais les conversations autour du feu allaient bon train, sans nourriture terrestre digestive, et il fallait les laisser vivre !

Conclusion,
je laisse Jimmy Cliff nous la chanter :
"Je peux voir clairement maintenant,
la pluie est partie,
je peux voir tous les obstacles dans mon chemin,
partis sont les nuages sombres qui m'aveuglaient,
cela va être un jour clair et ensoleillé,
clair et ensoleillé,
oui je peux le faire maintenant la douleur est partie,
tous les mauvais sentiments ont disparus,
voici l'arc-en-ciel que j'ai prié pour,
cela va être un jour clair et ensoleillé, clair et ensoleillé,
regarde tout autour il n'y a rien que du ciel bleu,
regarde droit devant il n'y a rien que du ciel bleu,
...
oh ouiiii, ouiiiiii"

Le 25 août 2013, dernier jour du Festival Pranique, s'est déroulé sur la Terre une égrégore de paix.

Une présentation sur le jeûne spirituel par : deeptrancenow.com.

Voici mon opinion sur des définitions et des concepts :

Le jeûne (à but) thérapeutique (pratiqué sérieusement dans les meilleures conditions : cliniques spécialisées par exemple) c'est surtout pour soigner le corps physique, même si ça peut soigner aussi le corps émotionnel, mental ou spirituel aussi.
Le jeûne forcé (pauvreté, maltraitance, famine, maladie, dépression, emprisonnement, etc.) est vécu négativement et le mental programme des impacts négatifs et cela gène les bienfaits de ce jeûne.
Le jeûne (à but) spirituel ou religieux c'est de l'introspection par le jeûne et s'ouvrir à d'autres dimensions, d'autres capacités, se recentrer sur l'essentiel. Souvent pratiqué avec de la prière : carême, ramadan. Il peut soigner le corps physique aussi.

Le jeûne festif à but inédique consiste à essayer de se nourrir en groupe, tout en se créant un environnement pro-inédie, calme et sécurisé : de fête, de joie, de sourire, de rire, de positivité, de se faire du bien, de musique douce ou religieuse, de rencontre plaisante, de techniques de bien-être, de développement et d'enrichissement personnel : sur le plan physique (musculation, yoga, bain, massage, nudisme, etc.), émotionnel (moments d'isolement, danse, techniques de lâcher et de guérison émotionnelle, méthode Chamodot, etc.), mental (discussion, confrontation, lecture de textes fondamentaux, film, immersion dans la nature, etc.) et spirituel (prière, méditation, transe, aide, etc.). Une des difficultés du jeûne en groupe est la disparité des évolutions : certain-e-s se remettent à manger de la nourriture digestive avant les autres, mais souhaitent rester dans le groupe, dans la fête. Cela est possible en le faisant discrètement : par exemple en allant à un point d'approvisionnement dédié en bordure du site, ouvert qu'une heure par jour, et ne servant que de la nourriture digestive légère à emporter cachée dans son sac, et à déguster isolé-e dans la nature à l'abri des regards des autres, pour pouvoir se remettre à jeûner éventuellement après un petit repas de réconfort.





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