Condition des
animaux
(non-humains)
Tu crois à la supériorité humaine sur les autres espèces animales ?
Il y a pourtant plein de choses aberrantes, indignes et immorales faites par certain-e-s humain-e-s que les non-humains ne s'abaissent jamais à faire.
Si tu manges encore de la chair
clique ici pour recevoir notre coup de colère
Ce n'est peut-être pas le cas pour celles et ceux qui ne se définissent que comme fructivore et pas concerné-e-s par les droits des animaux, mais nous aimerions que tout-e fruitarien-ne soit un-e végan-fruitarien-ne et respecte les animaux et leurs droits en évitant le port du cuir et de la laine : au Club nous sommes clairement pour les droits des animaux et donc à 100% pour l'abolition immédiate de toute expérimentation animale et de tout commerce de peaux, de cuir, de laine. Ce site est totalement indépendant des vivisectionnistes. Les vivisectionnistes essayant régulièrement d'infiltrer les milieux écologiques ou animalistes.
Pas besoin de philosophe, plus ou moins corrompu-e, qui vous vende des livres à 20 euros ou de librairie alternative qui vous vende des livrets à 5 euros pour comprendre :
Tout être devrait pouvoir être libre et disposer de son
corps, en conservant la possibilité de l'autodéfense.
Alice Walker : « Les animaux du monde existent pour leurs propres raisons. Ils et elles n’ont pas été fait-e-s pour les humain-e-s, pas plus que les Noir-e-s n’ont été fait-e-s pour les Blanc-he-s ni les femmes pour les hommes. »
Romain Rolland : « La cruauté envers les animaux et même déjà l’indifférence envers leur souffrance est à mon avis l’un des péchés les plus lourds de l’humanité. Il est la base de la perversité humaine. Si l’homme crée tant de souffrance, quel droit a-t-il de se plaindre de ses propres souffrances ? »
Cette page d'information et pédagogique montre le résultat de recherches sur le mouvement social et mondial pour les droits des animaux, qui comporte des individu-e-s légalistes, et d'autres illégalistes, ces dernier-e-s étant parfois considéré-e-s comme des écoterroristes par les autorités des pays concerné-e-s, jusqu'à aujourd'hui en janvier 2015 ils et elles n'ont pourtant jamais tué personne.
Au Club Fructivore, organisation festive et légaliste, nous ne confrontons pas les abuseurs et les tortionnaires d'animaux, même de façon uniquement légale, chose déprimante et sans-fin à faire. Nous ne nous focalisons par sur ces horreurs et maltraitances qui minent le moral.
Mais nous essayons, entres personnes susceptibles de progresser vers le fruitarisme, de construire un réseau pro-fruitarisme, festif, convivial, positif, hygiéniste et solidaire, comme le fait en quelque sorte aussi le mouvement végétarien en ce qui concerne le végétarisme.
La seule chose douloureuse à voir éventuellement étant de visionner le DVD Terriens au moins une fois dans sa vie, et d'avoir lu cette présente page.
« Terriens », (Earthlings en anglais) est un film sur DVD à offrir et à faire visionner par les omnivores, par celles et ceux qui trouvent ridicule de défendre les animaux sans connaître le sujet, par celles et ceux qui financent et participent à la castration, à la mutilation, à l'exploitation et au meurtre des animaux en persistant à manger de la chair, des œufs et des laitages :
Le film Terriens, un des meilleurs films sur les droits des animaux :
http://www.youtube.com/watch?v=Yqa2Pj_HMyI
Le DVD « Terriens » peut être revendu et offert comme cadeau,
attention à bien choisir la version narrée en français
à couverture blanche et non rouge :
http://terriensdvd.blogspot.fr/
On peut le laisser dans son véhicule, dans son sac, en cas de rencontre avec un-e détracteur des droits des animaux.
Ronny Lee :
« Nous avons été en guerre contre les autres créatures de cette terre depuis le moment où le premier chasseur humain s’exposa avec une lance dans la forêt vierge. L’impérialisme humain a partout réduit en esclavage, opprimé, assassiné et mutilé les peuples animaux. Tout autour de nous il y a les camps d’esclaves que nous avons construit pour nos semblables, les fermes-usines et les laboratoires de vivisection, les Dachaus et les Buchenwalds pour les espèces conquises. Nous mettons à mort des animaux pour notre nourriture, nous les forçons à jouer des acrobaties stupides pour notre délectation, nous les abattons au fusil et les perçons d’hameçons au nom du sport. Nous avons mis en morceaux les endroits sauvages où ils et elles firent jadis leurs foyers. L’espécisme est implanté et très arrêté en nous même plus profondément que le sexisme, qui est lui assez profond. »
Dr V. Coleman : « Rechercher un compromis avec les vivisecteurs et les vivisectrices serait comme négocier avec des opérateurs des chambres à gaz durant la 2ème guerre mondiale pour trouver un compromis à l’holocauste. »
Cliquer ici pour lire le témoignage d’une étudiante vétérinaire à l’abattoir
Le psychologue Richard Ryder, repenti de l'expérimentation animale, et maintenant défenseur des droits des animaux, et politiquement de centre droit (Liberal Democrats), a inventé en 1970 le mot « speciesism » (espécisme). Il a participé au film de 2012 "The Superior Human?" (L'Humain-e Supérieur-e ?) qui critique l'espécisme, la « doctrine » (mais existe-t-elle vraiment ?) des « suprémacistes humains ». Voici le film, il est hélas en 2014 seulement en anglais :
http://thesuperiorhuman.ultraventus.info/movie/about/preview/
http://thesuperiorhuman.ultraventus.info/movie/
Pourquoi le mot "espécisme" est mieux que "spécisme"
Antiespécisme ?
Une critique végan fruitarienne de l'antiespécisme, par le Groupe de Défense du Véganisme
Le philosophe abolitionniste de l'exploitation des animaux Tom Regan a écrit un gros traité en 1983, premier du genre : « Les droits des animaux. » traduit en français en 2013, en voici un résumé :
Livret en ligne de Tom Regan : La philosophie des droits des animaux
Plus récemment, le juriste et philosophe végan Gary Francione considère les animaux dotés de sentience comme des personnes :
Voici les théories et efforts légalistes non-fruitariens en faveur des droits des animaux selon Gary Francione qui oriente sa philosophie vers un abolitionnisme, une éducation populaire au véganisme et à l'ahimsa (respect et douceur).
Il est très critiqué par certains activistes des droits des animaux car il est strictement végan, et il estime que les actions traditionnelles pour défendre les animaux ne valent pas une éducation au véganisme, il est aussi contre l'usage de la violence, même si cela peut sauver des vies.
Il a dit aussi que le fruitarisme risquait de nuire aux droits des animaux.
Voici son site en français : http://fr.abolitionistapproach.com/
Son tract (mais nous pensons que notre tract fructivore est meilleur) :
http://www.abolitionistapproach.com/media/pdf/ARAA_Pamphlet_A4_French.pdf
Notre réponse à la critique de Gary Francione du fruitarisme
Mobilisation en faveur des droits des animaux,
des campagnes à relayer localement :
www.international-campaigns.org
Association de défense animale AnimalDestiny
Pour défendre les animaux de la mer :
http://www.shellfishnetwork.org.uk/
Pour vous convaincre que les animaux ne veulent pas être, ni rester les meubles-esclaves des humain-e-s, sur Youtube vous trouverez des vidéos d'animaux attaquant des humain-e-s souvent leurs abuseurs.
Blague :
En 2000 les forces armées de sa majesté la reine Elizabeth II ont eu droit à un menu d'urgence de combat végétarien. Sur les 1.600.000 paquets de ration opérationnelle produits par an 42.000 sont végétariens. Un petit dessin humoristique dans un quotidien en décembre 2000 montra un soldat qui lisait le menu et disait à l'autre « C'est pour des raisons éthiques, je suis en désaccord avec tuer quoi que ce soit. »
Conclusion :
La loi de la République Française considère en 2012 les animaux non-humains comme des meubles, comme des esclaves. Alors que St-Just, celui qui a écrit la constitution, souhaitait dans sa première constitution que les enfants de la république soient nourris de façon végétarienne.
En République Française les animaux sont les plus maltraités et méprisés de tous les pays du monde. Avec au moyen-age des rois comme Louis XIV qui maltraitaient publiquement des chats en les jetant dans un feu.
-gastronomie française inspirée des monarques, basée sur la chair de nonhumains, les laitages et les œufs, que l'on exporte dans les autres pays du monde.
-élevage industriel concentrationnaire, chimique, avec des antibiotiques probablement systématiques.
-foie gras, qui est une maladie engendrée par une maltraitance qui dure, interdit dans de nombreux pays.
-chasse à courre, interdite dans presque tous les pays.
-animaux domestiques maltraités : chats, chiens, etc.
-chasse sportive pour des trophées, le corps des victimes sans tête est mis à la poubelle.
-nombreux zoos et aquariums.
-cirques utilisant des animaux.
-pays le plus vivisectionniste au monde.
-pays de l'industrie nucléaire, le plus nucléarisé au monde.
-traction animale.
-pêche avec des bateaux-usines et des filets dérivants de 40 km de long, et de plus en plus profond.
-pays utilisant des équidés et des canidés pour la guerre, et des animaux pour tester les munitions et armes.
-industrie du cuir, de la laine, de la soie.
-etc.
Dans ce contexte, il est difficile d'obtenir des progrès pour la condition des animaux non-humains. Mais les prochaines victoires seront probablement la disparition du foie gras, de la corrida, du combat de coq, de la chasse à courre et de la vivisection.
Il y a toutes sortes de méthodes et d'idéologies pour défendre les animaux, leurs droits, et abolir leur exploitation, leur maltraitance, leur viol et leur extermination. Pour défendre les droits des animaux, inutile de dépenser sa salive et son temps à devenir un-e expert-e de la théorie, à défendre une idéologie, ou à être prisonnier-e-s d'une idéologie ou de concepts. Car la majorité des français-e-s a de toutes façons des difficultés à tenir une discussion élaborée et calme, en particulier sur les droits des animaux.
De plus quand on défend une idéologie, quand on porte donc une étiquette, c'est une raison de plus de se diviser ou de se faire critiquer.
En distribuant le tract du Club Fructivore et en affichant son affichette vous défendez indirectement les droits des animaux et le véganisme fructivore : le fruitarisme végan.
En créant votre groupe local fructivore, festif, positif et tolérant, aussi.
Faire visionner le film Terriens est très puissant et a convaincu beaucoup de gens de devenir au moins végétalien-ne-s.
Vivement que le film « L'Humain-e Supérieur-e ? » soit traduit en français.