Le portail de l'inédie






Cliquez ici pour lire les précautions

L'inédie (ou aquavorisme)

Introduction

L'inédie c'est boire uniquement de l'eau. Alors pourquoi pas appeler cela "aquavorisme" ? Cette notion d'aquavorisme peut sembler inutile : que l'on continue de boire ou pas, si on ne mange plus de nourriture physique digestive, selon beaucoup de gens, on peut être considéré-e comme étant inédique ou même à tendance respirien-ne. Car l'eau apporte peu d'énergie. Certain-e-s vrai-e-s inédiques ou respirien-ne-s les appellent parfois à tort des liquidarien-ne-s. Car les liquidarien-ne-s boivent en fait des jus de fruits etc. en plus grande quantité de façon digestive ... et un peu inédique.

Définition

Inédique (parfois appelé aquavore ou aquarien-ne (“waterian” en anglais, parfois aussi appelé respirien-ne) : se nourrit uniquement d'eau (de préférence pour certain-e-s, peu minéralisée, distillée ou de pluie après 30 minutes de pluie dans les régions où l'air est pollué) et de l'énergie de vie, de la lumière (sans abuser de l'ensoleillement), de l'air, du sol, des paysages, etc. mais peut consommer parfois un peu de nourriture solide ou liquide. Cela n'a rien à voir avec le jeûne long, la famine ou l'anorexie qui peuvent mener à la mort. L'eau de source est meilleure que l'eau minérale. D'après Steve Torrence l'eau apporterait chez les inédiques ou aquavores 5 % de l'énergie de vie totale.

L'inédie est la capacité à vivre sans nourriture digestive, c'est l'abstinence de nourriture digestive malgré un accès possible à de la nourriture. Ce mot est moins connoté "privation" ou "forcée", que le mot "jeûne".
Même si le dictionnaire latin-français Gaffiot donne à "inedia" le sens de "privation de nourriture" je présume que le Gaffiot n'est pas assez abouti. Il faudrait qu'un-e latiniste vérifie les écrits de Pline : Curc. 309, Ep. 3,7,1.
Le mot "inédie" du mot latin "inedia", utilisé par Pline au 1er siècle après J. C., est donc plus ancien et aussi moins connoté ecclésiastique que le mot "jeûne" puisque la chrétienté n'en était qu'à ses débuts à ce siècle ; il signifie "ne pas manger", pensez à l'anglais "INEDIble" qui signifie "immangeable" ou "non comestible".

Le mot "inedia" fut employé pour la première fois pour décrire un style de vie basé sur le non-manger-digestif dans la tradition catholique, pratiqué dans les déserts d'Egypte notamment au IVème siècle après J. C., qui disait que certain-e-s saint-e-s étaient capables de survivre des périodes de temps étendues sans nourriture digestive ni de boisson autre que l'Eucharistie, l'hostie.

Le mot "inédie" serait utilisé en médecine et en psychiatrie pour désigner les patient-e-s qui ne mangent pas ou extrêmement peu (uniquement l'hostie par exemple mais pour des raisons religieuses, pas pour se nourrir des nutriments de l'hostie), ainsi Michel Caire l'exprime très judicieusement :
"L'inédie est la réduction extrême et permanente des apports alimentaires, généralement liée à des motifs d’ordre religieux mystique."
Car un-e inédique ne se présente pas forcément comme un-e mystique et peut même être athée.

Qu'est-ce qu'un-e inédique ?
Un-e inédique, ou un-e respirien-ne, peut vivre sans manger de l'aliment digestif, et même parfois sans boire de l'eau, pendant de longues périodes, des mois, des années, avec une énergie et activité augmentée, une santé généralement excellente (mais parfois avec des maladies graves) selon l'âge auquel la transformation s'est effectuée, un temps de sommeil diminué, normalement une joie ou bonheur de vivre décuplé. Mais certain-e-s acceptent de manger parfois et un tout petit peu, soit pour diminuer l'impact social de leur inédie et orienter les discussions vers d'autres sujets, soit pour s'amuser avec la saveur ou à l'occasion de rencontres sociales. Dans ce cheminement vers le respirianisme, ils et elles se libéreraient de tout, de la dualité, du dogmatisme, etc. Hors de toute dualité, de tout dogme, ils ou elles peuvent remanger s'ils ou elles le désirent, en risquant néanmoins d'être déprimé-e, de se sentir lourd-e à cause de la digestion qui prend de l'énergie. En fait il manque un mot moderne satisfaisant pour les désigner, et c'est peut-être bien ainsi. Le mot amusant et court "pranique" est parfois utilisé à la place du mot "inédique", mais l'énergie de vie, le prana, est déjà en tout et nourrit aussi tout le monde plus ou moins directement, et le mot "prana" fait référence à la culture d'Inde. Le mot français "énergie de vie", c'est moins ésotérique, exotique et compliqué que "prana", et ça parle à tou-te-s les francophones. De plus certain-e-s inédiques croient à autre chose qu'à cette énergie vitale ou divine, interpètent le phénomène d'une autre façon.

Mais alors qu'est-ce que l'inédie ?
L'inédie, sur le plan alimentaire, est le phénomène biologique ou énergétique qui consiste à être nourri-e, à ce que nos cellules se nourrissent et fonctionnent correctement, sans passer par de l'eau ou de la nourriture digestive mangée, bue, ou absorbée par la peau. Les cellules s'hydratent et se nourrissent donc directement et uniquement avec une source d'énergie pour l'instant inexpliquée par la majorité des universitaires, mais qui nourrirait pourtant, en partie, tous les êtres vivants, car elle serait en tout et partout (peut-être entre les atomes, subatomique ?), et surtout dans les choses vivantes mais aussi dans le règne minéral. La cellule puiserait peut-être dans notre âme, dans les vibrations de nos émotions ou/et dans des rayonnements ou dans une cinquième dimension (qui serait une matrice vibratoire de la vie ? une matrice divine ?) cette énergie et l'exprimerait dans les troisième (le relief) et quatrième (la temporelle) dimensions. Avec cette hypothèse, la cellule humaine est un système ouvert, et ainsi les lois de la thermodynamique, de la physique, seraient respectées. Les rapports d'observations médicales d'inédiques sont généralement gardés au secret par embarras, pas publiés, car l'inédie est pour l'instant inexplicable par la médecine moderne actuelle. LES PREUVES SCIENTIFIQUES DE L'INEDIE EXISTENT : ce sont ces observations d'inédiques en hôpital ou par des médecins. L'existence même du mot "inédie" et son emploi par les médecins depuis des centaines années montre que le phénomène est régulièrement observé. Mais il n'y aura peut-être jamais d'EXPLICATIONS scientifiques modernes à l'inédie car les bilans sanguins sont parfaits et ... sans particules d'aliments d'après un Docteur en Biologie qui a utilisé un microscope spécial. On peut regretter aussi la forte dépendance et soumission des autorités scientifiques et politiques aux lobbys commerciaux, pharmaceutiques et agroalimentaires. Y a t-il vraiment besoin d'explications scientifiques !
Un exemple courant d'inédie : on peut dire que les plantes non-insectivores Tillandsias qu'on accroche au plafond sans terre et presque sans arrosage sont quasi-inédiques. On pense aussi aux mousses végétales et lichens. Or les cellules d'un-e humain-e sont peu différentes des cellules des plantes.

La nourriture digestive donne aussi de cette énergie (entre 15 et 30 % de l'énergie totale) et nourrit, mais est donc inutile et optionnelle pour les inédiques. Certains inédiques la percoivent même comme une drogue dure, dont il faut 5 à 15 ans pour se déshabituer, se sevrer, et qui garde l'humain-e dans la confusion énergétique. Elle pourrait même être considérée comme un poison étranger au corps si elle n'est pas mangée en conscience, avec gratitude. Un poison qui rendrait malade, affaiblirait, déprimerait, encrasserait, entartrerait, ferait vieillir et finirait par tuer le corps physique à un âge anormalement précoce puisque selon quelques inédiques, l'humain-e inédique pourrait rajeunir, rester en jeunesse permanente, vivre bien plus longtemps que 120 ans. L'église catholique, avec ses lettrés, médecins et érudits, connaît depuis des siècles le phénomène et préfère de nos jours le mot "inédie" au mot "jeûne", sous-entendu "jeûne spirituel temporaire", par exemple celui de Moïse ou de Jésus-Christ, de 40 jours dans le désert. Le christianisme, dit primitif, d'autrefois, insistait beaucoup sur le jeûne, le carême, et est donc une religion avec beaucoup d'affinités avec l'inédie. On peut présumer que Jésus-Christ est inédique mais qu'il a caché son inédie pour des raisons spirituelles. Malheureusement, de nos jours, le "jeûne" chrétien, et musulman aussi d'ailleurs, est encore lié à une image de privation, une sorte d'ascétisme, or de nos jours pour progresser vers l'inédie il vaut mieux se chouchouter, il faut envisager ces abstinences volontaires comme sécurisées, positives, fortifiantes, saines et enrichissantes, une vraie communion avec le divin/la Matrice, qui peut ainsi mieux s'exprimer à travers un corps physique chéri, purifié et nettoyé, et dont la sensibilité a augmenté dans un environnement calme et propice. Il est vrai que l'on doit traverser aussi quelques souffrances, quelques crises émotionnelles, s'en nettoyer.

Les inédiques de nos temps modernes sont plus vivant-e-s, ressentent mieux leurs énergies, maîtrisent mieux leurs pensées et émotions, ont plus d'harmonie, ignorent la faim et parfois la soif, sourient plus, ont plus d'énergie (ils et elles font tou-te-s de l'exercice physique, parfois du sport), dorment peu, passent des nuits blanches, ne suent pas, sont beaucoup moins attaqué-e-s par les insectes et se programment leurs poids et réparent mieux leurs cellules et organes endommagés. Leur rapport au froid et à la chaleur est plus confortable. Il se pourrait aussi que des neurones nouveaux se créent dans leurs cerveaux. Certain-e-s sont totalement libéré-e-s des excrétions corporelles : il n'y a plus 4 kilos d'excrément qui transite en permanence dans leur corps. Ils et elles se sont démerdé-e-s (et oui le système D !), pour ne plus emmerder le monde, pour ne plus chier sur notre Terre-Mère, la création de Dieu/Elohim/El/Ilu/Allah/la Matrice. On pourrait appeler les inédiques qui boivent encore de l'eau ou mangent un tout petit peu et très rarement, des aquavores ou des aquarien-ne-s, mais pour faire simple nous préférons les appeler aussi des inédiques, car ils et elles ont prouvé sur de longues périodes leur capacité à se sustenter sans aliments digestifs. Certain-e-s inédiques rejettent toute étiquette ou classification y compris celle d'inédique ; tout concept du mental est limité et connoté. Certain-e-s restent isolé-e-s et/ou cachent aussi ce qui leur arrive, "vivons heureux vivons cachés", et ils et elles ont parfois raison car l'incompréhension (compréhensible) et la pression sociale est parfois très inconfortable à endurer, voire hostile. Certain-e-s ne sont pas fier-e-s d'y être parvenu-e-s à cause ou grâce à la pauvreté : manger dans les poubelles, pas moyen de s'acheter ou de se procurer à manger. Ou bien à cause de leur séjour dans un camp de travail et/ou d'extermination d'êtres humains du 3ème Reich, ou d'une enfance battue et maltraitée pire que Cendrillon. D'autres sont devenu-e-s inédiques car ils ou elles ont une intelligence et une intuition extrêmement développées, hors du commun, on pourrait dire d'origine Atlante ou extra-terrestre (A une époque de l'histoire de l'humanité y a t-il eu une hybridation d'humaines avec des extraterrestres qui auraient donné le gène du respirianisme ?). Des gens croient parfois qu'on ment, qu'on a une pathologie mentale, ou sont vexé-e-s qu'on refuse toujours leur offrande de boisson ou d'aliment digestif. Certain-e-s s'inquiètent pour un-e proche qui s'intéresse de trop à l'inédie, et sont parfois en colère contre nous.


Les inédique-s ont un parcours personnel et ont leurs propres mots pour expliquer le phénomène subtil et difficile à exprimer qui leur arrive : d'être libéré-e de la nourriture, parfois sans même l'avoir demandé.
Ce phénomène pourrait avoir aussi plusieurs niveaux selon les personnes : un respirianisme avec de/par l'énergie de vie, un autre respirianisme connecté à un flux de "lumière".

Haut de page Page suivante
Tous droits réservés. 2009-2018. Contact respirianisme @ gmail.com