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Les précautions

On ne peut pas vouloir devenir inédique.
Panneau bateau de sauvetage
C'est ici le canot de sauvetage pour les risques d'imiter les gens vivant l'inédie.

Des précautions

1-PRECAUTIONS pour le jeûne mystique

Attention ! De tous les temps et dans beaucoup de pays, il y a eu, et il y a encore, des magiciens, des escrocs et des chefs religieux de sectes qui se sont prétendus en inédie pour simplement devenir une célébrité, impressionner, imposer leurs croyances, vendre des livres ou soutirer de l'argent et d'autres avantages.
On peut manipuler les gens avec des mots et des concepts incompréhensibles et inexplicables et un comportement dominateur, contrôler leur jeûne, les forcer à jeûner. Jeûner dans un tel contexte malsain où on n'ose pas poser des questions, où on n'écoute pas les signaux de son corps, mais les ordres d'un-e chef-fe, est dangereux.

Si vous ignorez ce qu'est une secte dangereuse les humoristes Les Inconnus ont fait une parodie : https://www.youtube.com/watch?v=dOJwGl3yLMU

L'inédie est risquée comme il est risqué de pratiquer un art martial, le toumo (la résistance à la neige ou à l'eau glacée), la marche sur les braises et la hutte de sudation.

Jasmuheen déconseille depuis plusieurs années de suivre son processus de jeûne mystique dit "des 21 jours" qui aurait permis de progresser vers l'inédie, et qui était à mon avis seulement peu risqué pour une élite détoxifiée déjà fruitarienne ou crudi-végane. Il faut donc se méfier de toute personne qui voudrait nous vendre un stage de jeûne mystique ou de processus en rapport avec l'inédie/le respirianisme, fut-il de 21 jours, de 9 jours ou de 3 jours. 3 jours c'est court par rapport au travail sur soi de toute une vie ! Je ne vois pas de différence significative entre ces stages de jeûnes mystiques payants (qui ne publient pas leurs résultats ou absence de résultats) et entre faire un jeûne long en maison de jeûne thérapeutique où l'on se sent plus en sécurité. Même avec ce type de stage payant les gens en inédie ne peuvent pas transmettre leur inédie, sinon cela se saurait et se ferait, vu l'engouement pour l'inédie. Les gens parvenu-e-s à l'inédie par un simple stage en témoignerait : je ne connais qu'un seul cas de témoignage en ce sens. S'il y avait une méthode efficace on en témoignerait sur ce site.

Il y a hélas deux femmes cinquantenaires (une australienne, Verity Lynn, et une suisse dont le pseudonyme attribué par un journal est Anna Good) qui ont voulu devenir inédique en se forçant, en jeûnant de force toute seule, et qui sont mortes probablement de froid, et peut-être de leur jeûne sec ou d'hypoglycémie. L'inédie est différente du jeûne envisagé comme une privation. Elle est vécue dans la joie, sans y être forcé-e. On peut s'y préparer, mais on ne peut hélas pas vouloir devenir inédique, c'est un cadeau du divin, parfois une surprise. Ce site et ces précautions contribuent à ce que ces drames ne se reproduisent plus. Erika Witthuhn, inédique :
« Effectivement, tant que les problèmes émotionnels ne sont pas réglés ce n'est pas la peine de vouloir vivre de lumière. Et en fait il ne faut pas vouloir. C'est le corps lui-même qui nous fait savoir le moment où c'est approprié ».
Des précautions, complémentaires à celles classiquement recommandées pour le jeûne, pour progresser vers l'inédie sont :
Il faudrait pour la sécurité être en excellente santé, en particulier si on a un problème au niveau psychiatrique il faut éviter d'essayer de vivre l'inédie. Il faut écouter sa petite voix intérieure, son corps, si on veut manger de l'aliment digestif on en (re-)mange, et même en continuant avec la gratitude envers ce que nous offre la vie à travers cet aliment digestif remangé.
Jeûner sans eau ou se forcer à ne plus manger en s'isolant sans vivres (et sans téléphones) sont déconseillés. Car il est évident que si on s'affaiblit on ne peut plus appeler de l'aide, du secours, ou dramatiquement se déplacer pour trouver de la nourriture ou de la boisson, pour se réchauffer. Seul-le-s des prophètes ou des yogi-ni-s très avancé-e-s en maîtrise physique et spirituelle endurent parfois ces risques mortels.
Jasmuheen déconseille maintenant de suivre son processus des 21 jours au profit d'une transition plus lente et plus progressive sur des années.

Les trois critères qui prouvent qu'on est en inédie plutôt qu'en jeûne vécu comme une privation, quand on a cessé de manger depuis plusieurs semaines sont :
1-après une phase initiale normale de perte de quelques kilogrammes (par exemple 5 kg) on a stabilisé ou augmenté son poids, bien que l'on puisse encore aller aux toilettes pour un tout petit caca d'un cm ou deux, parce que l'eau de l'air est absorbée (plus l'hygrométrie augmente et plus on urine) ou que l'on génère sa propre eau (salive), et à cause de résidus digestifs anciens, du renouvellement cellulaire des muqueuses du système digestif, des sécrétions digestives et des polluants de l'air absorbés voire des stress et maladies des autres.
2-on dort peu : entre une et cinq heures par nuit. On peut passer des nuits blanches sans en être abimé-e, ou apprécier une sieste l'après-midi. Si on est du matin on se lève typiquement à 4H00 du matin plein-e d'énergie et d'enthousiasme pour une nouvelle journée de 20H00 d'activité, si on se lève à 9H00, ou plus tard, fatigué-e, c'est qu'on est en jeûne vécu comme une privation pas en inédie ! Certain-e-s, du soir, restent en activité jusqu'à 4H00 ou 5H00, dorment, puis se réveillent vers 9H00. Réduire son temps de sommeil pour évoluer vers l'inédie serait une grave erreur, c'est plutôt du repos et du sommeil réparateur qu'il faut et répétons-le encore une fois : une excellente santé.
3-on déborde d'énergie et d'activité. On peut porter de lourdes charges sur de longues distances. On peut faire des conférences brillantes de plusieurs heures sans aucune pause, si on trouve un auditoire aussi endurant ! On résiste mieux au froid et à la chaleur, du fait d'une meilleure santé. On peut aussi accueillir le froid en maîtrisant le Toumo, technique d'apprivoisement du froid.

Attention : Un-e inédique peut encore être intéressé-e financièrement et contribuer encore à l'exploitation des autres et des animaux : par exemple porter des chaussures en cuir. Ce n'est pas un statut moral. On peut aussi avoir de la colère, de la violence, etc. De même que résister à l'eau glacée ou s'allonger sur une planche à clou n'est pas un signe de sainteté.


2-PRECAUTIONS pour jeûne non mystique Le jeûne à visée thérapeuthique aussi est risqué. Le Docteur Herbert Shelton a fait jeûner de façon thérapeutique des milliers de personnes aux EUA et s'est retrouvé en prison deux fois quand un jeûneur, qu'il n'avait pu refuser par bonté, en quête avec dernier espoir de guérison (peut-être d'une maladie mortelle en phase terminale) est décédé dans sa clinique de jeûne.

Jeûner est optionnel pour le passage à l'inédie.
Si on est en jeûne vécu comme une privation, et que donc on perd du poids (en général entre 0,5 et 1 kg par jour), il faut écouter son intuition et se demander si jeûner ainsi nous est vraiment utile, indispensable et un acte d'amour envers nos corps, surtout si on est déjà mince ou en climat froid, et qu'on laisse nos muscles sans exercice, il faut bouger un peu tout de même dans la journée. Si on décide de jeûner alors il faut se renseigner avant, car dans nos cultures occidentales romaines nous avons généralement perdu l'art animal et ancestral de jeûner. Il faut suivre les précautions de jeûne dont les plus importantes sont généralement : éviter d'être enceinte ou de souffrir de certaines conditions qui seraient des contre-indications médicales, éviter de frimer avec et de chercher à faire un exploit (on ne peut se fixer de durée minimale pour un jeûne, on doit l'arrêter dès que l'on en ressent le besoin : trop grande baisse d'énergie, trop grande perte de poids, trop grande douleur ou inconfort, faim qui réapparait après trois jours, les deux ou trois premiers jours c'est normal d'avoir des sensations de faim et de boire de l'eau permet de calmer cette sensation) éviter de trop perdre de la masse musculaire, mais plutôt rester simplement et sérieusement à l'écoute de son corps et de son esprit (messages intérieurs), et remercier la nature de pouvoir laisser le système digestif se reposer, avoir une compagnie bienveillante, un environnement calme, chaud et protégé et le téléphone pour pouvoir appeler de l'aide si nécessaire, boire de l'eau selon ses désirs et douleurs de détoxifications (ni trop peu ni trop), se constituer un stock d'eau délicieuse et peu minéralisée avant en faisant des tests comparatifs (par exemple l'eau Montcalm), se fixer une limite de poids minimum avec une marge de sécurité, par exemple s'alléger au maximum de 10 % de son poids habituel (une perte de poids trop importante est irréversible et aboutit à la mort), s'assurer une surveillance médicale pour un jeûne long (il y a des cliniques d'Etat de jeûne en Russie, et certaines cures de jeûne dans un hôpital en Allemagne sont remboursées par la sécurité sociale allemande), attention aux risques de chutes et d'accidents de la route et faire très attention à remanger très progressivement et uniquement liquide ou juteux les premiers jours de reprise alimentaire pour de la douceur avec le système digestif. Prévoir une bouteille de jus de fruit ou des fruits aqueux du genre poires Guillot ou raisins. Si l'on veut prolonger les sensations du jeûne, on peut faire sa reprise alimentaire digestive avec un litre de jus de pomme bio dilué et pris progressivement sur 24 heures. Il y a une maison sérieuse de jeûne à Lorient, chez l'hygiéniste Désiré Mérien, hélas le séjour n'est pas remboursé par la Sécurité Sociale. Toutes ces précautions de prudence, ne doivent pas vous faire vivre votre jeûne, surtout si c'est le premier, dans la peur, mais dans la confiance en votre corps, en vos cellules, et en la providence. Se peser dans la joie. Mesurer son ph urinaire dans la joie. Le jeûne fait fluctuer votre énergie comme un yoyo : baisses et montées d'énergie, le matin est un peu plus dur en général. Jeûner en groupe de deux, trois ou quatre est plus rassurant car on peux se faire des "points santé" régulièrement (par exemple deux fois par jour) et se soutenir quand l'un-e est faible. Il est très facile de se constituer un groupe local de jeûne et de commencer par des jeûnes d'un samdim, chez quelqu'un du réseau. Si l'on apprécie ça, un lavement peut être utile au bout de quelques jours du jeûne, ou une purge. Le jeûne est une expérience parfois un peu douloureuse à cause de la détoxination qui engendre des douleurs passagères dans des muscles (boire de l'eau), dans la tête ou dans les dents où se dégagent les toxines et les acides, mais c'est une fantastique expérience d'auto-nettoyage de votre corps physique, émotionnel, mental et spirituel, ainsi qu'une expérience animale et mystique, gratuite. On se sent plus fort-e qu'avant le jeûne, après les quelques jours de reprise alimentaire digestive, on reprend vite son poids si le jeûne a été bien mené. Les premiers jours de reprise alimentaire digestive, qui peuvent être aussi épuisants qu'une sortie de grippe, devraient être passés dans un environnement libre de corvées à faire, libre de jugements sur le poids perdu, et libre de pressions psychologiques, idéalement en vacances totales. Attention quand on recommence à faire refonctionner ses dents en mâchage, à se remémorer les conseils de son dentiste en matière de fragilité de certaines réparations dentaires si il y en a, notamment si l'on croque du pain dur, des rondelles de bananes hyper-séchées ou des noix (du brésil par exemple) non trempées, qui peuvent fissurer des bouts de résines et casser des couronnes en céramiques, qui tomberont quelques jours après avec un aliment très collant.


3-PRECAUTIONS pour une diminution des repas (avec risque de carence !)
Sans passer par le jeûne, en cas de choix de la diminution alimentaire digestive progressive (passer des jours de temps en temps sans manger, comme le jeûne intermittent de Daoud/David, celui qui plaît le plus à Dieu pour les musulman-e-s, qui consiste à jeûner un jour sur deux, et que Saint Antoine l'Egyptien pratiquait, un inédien, en surpoids avant son inédie, jeûnait 3 jours, puis mangeait 3 jours puis rejeûnait 3 jours et ainsi de suite.) il faut s'aimer, rester dans le plaisir, la joie, l'harmonie, le ressenti, l'action en conscience, tout est fait en conscience (surtout manger et interagir avec ses proches) et la méditation quotidienne peut aider à cette attention (peut aussi donner lieu à des illusions), à cette introspection, et continuer aussi seulement si tout se passe bien : si toutes nos cellules fonctionnent bien, si on déborde d'énergie, si on dort peu, si on se lève très tôt naturellement bien reposé-e, et si on stabilise son poids, si on se sent connecté-e au tout. Il faut s'être débarrassé-e de peurs, faire confiance en la providence, mais rester néanmoins dans la prudence et l'écoute de son corps, chose que l'on a perdu dans la culture occidentale moderne. Si des monstres viennent à la conscience lors de la 3ème ou 4ème nuit leur envoyer de la lumière blanche. Il faut nettoyer ses espaces intercellulaires pour que l'énergie y circule, en buvant du jus de fruit. Le jus est riche en fibres courtes brossantes, en enzymes nettoyantes et déprotéïnantes, en acides organiques dissolvants du gras et des concrétions minérales et en pectines absorbantes de métaux lourds et dépolluantes. D'après un professeur égyptien la membrane cellulaire aurait probablement une énorme importance dans le fonctionnement cellulaire car son intelligence propre lui permettrait de filtrer les substances dont elle a besoin sans passer par des ordres du noyau. Ce qui expliquerait peut-être la résistance de fakirs et de mystiques qui boivent des poisons ou se laissent mordre par des serpents dangereux mortels pour se tester. Un inédique de Fukushima serait aussi particulièrement indemne de l'irradiation causée par la catastrophe des centrales électro-nucléaires. Il faut donc maintenir son poids (avec une fluctuation normale moyenne de 4 kg d'excrément et autres) par exemple en faisant plus de musculation. Il faut maintenir ou augmenter son niveau d'activité et sa bonne humeur : sourire tout le temps. Il faut diminuer ses dépenses d'énergie de vie et augmenter sa captation et transformation de l'énergie de vie au ressenti. Il faut parfois savoir s'isoler quelques minutes dans la journée, "disparaitre" du groupe, car en tant qu'éponge émotionnelle et énergétique, il faut savoir se recentrer énergétiquement, se ré-ancrer en soi-même et à la terre, redevenir 100 % soi-même au delà des influences humaines reçues en groupe, en société. Chercher plutôt l'influence divine ou des être du monde des esprits : anges ? Le livre pour cheminer sur le parcours inédique est unique, personnalisé et se trouve en chacun-e de nous, si l'on sait dépasser ses dualités, ses croyances, ses certitudes, son avidité, sa peur du manque et ses dépendances (le blé est une drogue dure). Evidemment il faut se déconditionner de la déshumanisation et de la fonctionnalisation (= se limiter à son rôle, à sa fonction dans l'entreprise et la société) que l'on a intégré en entreprise et peut-être se trouver un mode de vie vraiment humain et épanouissant, donc probablement hors des entreprises déshumanisantes ou des relations de clientèle trop lourdes, comme dans une SCOP sympa.

Pour avoir une chance que l'inédie survienne en soi, il faut généralement des année d'efforts d'amélioration de soi :
éventuellement en abstention de psychotropes puissants comme l'alcoolisation, le blé, le fromage et la tabagie,
optionnellement en méditation et intériorisation,
obligatoirement en attention et maîtrise de soi (physique, émotionnelle, mentale, spirituelle, si possible rétention maximale des fluides sexuels sauf pour la procréation ou l'élimination des toxines où l'on va jusqu'à l'orgasme, ou sauf pour les écoulements inévitables de trop plein survenant sans stimulation ayant été trop loin et qui permettrait de les obtenir, néanmoins une stimulation sexuelle modérée apporte de l'énergie générale),
en exercice physique (sport régulier sans atteindre le très haut niveau qui peut abimer le corps, marche, vélo, jardinage, musculation, yoga ou Qigong, etc.),
en captation ou synchronisation de l'énergie de vie par des marches en forêt, au bord de la mer, en montagne et de l'ensoleillement,
mais surtout évidemment en assainissement, allègement et simplification de l'alimentation et en déconditionnement du mental. Même des omnivores dans certaines circonstances peuvent devenir inédiques, mais voici des tendances de principes diététiques qui se retrouvent chez beaucoup d'inédiques, sans être toutefois universels, quand elles et ils mangeaient encore : pas de chimie, eau déminéralisée ou filtrée peu minéralisée, pas de petit-déjeuner, alimentation 100 % végétale et éventuellement minérale (eau, argile), plus de frais/cru voire totalement cru, moins de gras, jus de fruit si possible frais, des aliments-plaisirs (un petit café par jour) et certaines adoraient le tournesol trempé ou germé ou les algues ou les herbes sauvages (très nutritives).
Exemples de quatre repas typiques d'une personne devenue à tendance inédique, vérifiant les trois critères cités plus haut (poids, sommeil, activité), ne suivant donc pas de régime, n'ayant pas besoin de se forcer à quoi que soit, ne souffrant d'aucune carence et gardant son niveau d'énergie et d'activité élevé :
un fruit sucré (la pomme est très équilibrante, la mangue mûre à point succulente) ou quelques baies sauvages en recrachant la pulpe, l'eau d'une ou deux noix de coco peu mûre,
un verre ou demi verre de jus de fruit ou un mixage mangue-banane,
une boisson chaude en particulier l'hiver avec un biscuit ou un carré de chocolat, une soupe chaude légère, un bouillon de légume chaud, un café,
ou bien une salade composée de deux tomates, un demi-concombre ou un entier, une pomme, un avocat, quelques olives avec éventuellement huile d'olive.
Le gras dans ce repas, présent surtout dans l'avocat et les olives, est de l'énergie concentrée et donne moins faim que de l'aliment sucré, qui met en jeu le mécanisme de l'insuline.
En fait ce serait plus la conscience qu'on met (avec la puissance infinie du VERBE, juste poser l'intention suffit), quand on mange un aliment digestif, que l'énergie de vie de l'aliment qui nourrirait.
Les aliments digestifs apportent seulement entre 15 et 30 % de l'énergie de vie totale. D'après Steve Torrence l'eau apporterait chez les inédiques qui boivent encore de l'eau (on pourrait presque les appeler des aquavores) 5 % de l'énergie de vie totale.

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