Le mot « déjeuner » signifie mot à mot « sortir du jeûne » de la nuit, qui a régénéré et réparé le corps.
Donc le petit-déjeuner est d'invention récente. Des repas pris à heure fixe deviennent une habitude et même
sans faim réelle nous réclamons notre déjeuner ou notre dîner, moments spéciaux de pauses et de réjouissances
sociales de la journée, associés à des discussions agréables. Mais la pause peut être faite sans manger.
Par habitude et sans faim réelle, peut-être pour faire d'imaginaires réserves aussi, quand nous mangeons,
nous mangeons généralement au delà de la satiété. A Okinawa par contre, pays des centenaires et des
super-centenaires, on mange léger c'est-à-dire qu'on s'arrête de manger un peu avant : à 80 % de satiété.
Des inédiques disent que la faim est un début de détoxination engendrant une gène, une irritation dans
le système digestif enfin mis au repos et à l'auto-nettoyage, que l'éventuelle faiblesse ou manque d'énergie
est dûe à ce début de processus de détoxination par le corps.
Mais la faim, les faims diverses, est-ce réel ou est-ce un manque d'énergie vitale ?
Certaines personnes prennent votre énergie de vie, le mieux est de les ignorer, comme toute chose négative,
de couper court à toute discussion négative, et de passer à une discussion passionnante qui fait chanter
votre cœur.
Des guérisseurs donnent de l'énergie de vie.
La faim se fait sentir par un désir de manger mais à l'origine de ce désir il y a soit une faiblesse, un désir
d'énergie, soit une barre de douleur dans l'estomac, soit une boule de malaise de 15 cm de diamètre dans
l'estomac, soit un désir mental de gourmandise sans les sensations physiques précédentes.
Des conflits, des relations dis-harmonieuses, des émotions et des événements comme l'exposition au froid
engendrent la faim.
Etudions maintenant les faims plus en détail :
-Le manque de sommeil aussi, engendre de la fatigue et donc incite à prendre de l'aliment-stimulant.
Il s'agit là de la faim de stimulant. Se coucher tard prend de l'énergie de vie. Les inédiques se
couchent vers 22H00 ou 23H00 pour deux ou trois heures de sommeil, ou s'ils et elles sont du soir,
se couchent plus tard mais se lèvent tôt.
-Vivre exclusivement dans un bâtiment aussi, rester enfermé-e à dormir dans une chambre mal aérée, manquer
d'air frais (d'énergie de vie atmosphérique) aussi. Il s'agit là de faim d'énergie de vie. Les aliments
contiennent de l'énergie de vie, mais trop. Le travail fait sans respecter les bio-rythmes, peut prendre
de l'énergie, mais en donner aussi.
-La faim d'auto-obligation : on se dit qu'on doit manger car on a appris que pour être performant-e,
grassouillet-te et en bonne santé on doit manger. Alors que moins on mange et plus on fait de l'exercice
plus on est performant-e, plus on est léger, sec ou sèche (sans gras), svelte et musclé plus on vit
bien et centenaire. Alors pour se forcer à manger sans faim physique on ajoute aux aliments de base : sauces,
sucres, gras, sels et épices.
-La faim de sel, engendrée par un déséquilibre en sels minéraux. Le sel (et d'autres produits appelés
« appétant ») stimulent la soif et donc l'appétit, et donc l'appétit anormal de nourriture solide, car
la soif est liée à la faim, car l'alimentation digestive authentique de l'humain-e est avant tout liquide
(le jus des fruits en recrachant la pulpe).
-La faim de liquide, d'eau (ce que l'on appelle la soif en fait) est souvent engendrée par le sel accumulé
dans le corps, des sels, ou de l'aliment sec graine, du féculent.
-La faim de sucre est un manque de glucose dans le sang qui est lié à la faiblesse musculaire ou au refroidissement
puisque les cellules musculaires réclament du glucose.
-La faim de gras est une faim d'énergie concentrée puisque le gras est transformé en sucre. C'est aussi une
faim de testostérone, d'agressivité, pour résister à un environnement agressif. Car augmenter le gras dans
le sang augmente le taux sanguin de testostérone. Etre gros-se permet aussi de se protéger des vibrations
externes par une couche de gras.
-La faim de protéines est une illusion du mental car 99 % des humain-e-s consomment trop de protéines.
Cependant quand on a perdu beaucoup de poids on peut éprouver cette faim de protéines.
-Les faims de psychotropes, dues à l'accoutumance, à l'ivresse, au désir d'ivresse : alcool, sucre blanc,
blé et ivraie, coriandre, muscade, fromage, tabac, aubergine (très riche en nicotine), laitue (sédative
riche en opiacés), etc. Le préalable à l'inédie est de se désaccoutumer de l'ivresse, de ces ivresses
dues aux aliments psychotropes. C'est très difficile.
Comme l'héroïne, le blé est une drogue dure, fondatrice de l'agriculture,
de la sédentarisation, de la thésaurisation, et de la civilisation occidentale moderne (qui date seulement de
10000 ans), qui calme et endort avec une ivresse égocentrée (contient des opiacés),
excite aussi à la fois (contient des substances proches des amphétamines),
augmente la testostérone, l'agressivité
et le risque de folie et de dégénérescence nerveuse,
et augmente l'appétit sexuel et la faim : deux heures après s'être saoulé de blé la faim réapparait :
ceci est très addictif, et lucratif pour l'agroalimentaire qui met de la poudre de céréales à peu près partout.
Cf vidéo en anglais du cardiologue (canadien ?) mangeur de viande et de légumes
mais abstinent de céréales et de trop de fruits, Willians Davis, auteur du livre :
Pourquoi le blé nuit à votre santé.
Une présentation
de son discours sur contrepoints.org
Une étude sur le blé sur carevox.fr.
-La faim de décarencisation : Il y a des repas et des nourritures déséquilibrées qui engendrent cette faim,
qui donnent encore plus faim :
des repas carencés ou déséquilibrés comme par exemple de la nourriture cuite à plus de 40 degrés et qui est
donc carencée en enzymes,
des graines qui sont incomplètes, particulièrement déficientes en calcium, car elles trouveront le restant
pour se développer en plante dans le sol,
de la nourriture imbibée de produits chimiques tels que conservateurs et colorants qui nuisent à l'assimilation
biochimique des nutriments et stérilisent les enzymes de digestion,
de la nourriture irradiée / ionisée,
de la « nourriture » génétiquement modifiée,
de la nourriture produite par de l'agriculture ou du jardinage utilisant des produits chimiques, ces produits
laissant des résidus chimiques dans l'aliment,
de la nourriture mélangée de façon indigeste,
de la nourriture issue de sols carencés, morts, stériles, contaminés...
-La faim de nourriture ou boisson chaude, de chaleur pour se réchauffer : une simple eau chaude réchauffe.
-La faim de refroidissement : dès qu'on subit un refroidissement par exemple parce qu'un nuage bloque le soleil,
une faim apparaît.
-La faim de saveurs agréables qui nous rappelle de bons souvenirs : la faim mentale. Rien que de voir un emballage
connu d'un aliment de notre enfance nous rappelle des souvenirs émotionnels.
-La faim de voyage, l'ennui, car l'aliment nous transporte dans son monde, sa vie et sa mort, ce qu'il a éprouvé,
le soleil et les planètes qui l'ont fait grandir, la terre qui l'a nourri (la faim d'enracinement à la terre si
on est dans une humeur trop spiritualisée). L'aliment nous transmet aussi les vibrations de la personne qui l'a
transporté, préparé, vendu ou offert.
-La faim de montée d'énergie, de stimulation : avant une épreuve on se dope à de l'aliment.
-La faim de consolation : après une épreuve on se console avec l'aliment. L'insatisfaction-frustration
sexuelle-affective, et les émotions négatives, aussi poussent à manger de la nourriture digestive ou des
psychotropes pour oublier la tristesse.
-La faim de décadence comme dans la Rome antique consiste à se goinfrer lors de très longs banquets, pour
ensuite aller vomir. Ce qui est analogue à l'orgie ou à la consommation de prostitué-e-s pour le feu sexuel.
-La faim de nourrissonisation : vouloir une purée de légumes ou du lait pour retrouver les sensations quand
on était nourrisson.
-La faim d'infantilisation : vouloir des plats que nous adorions étant enfant pour retrouver les sensations
quand on était enfant.
-La faim d'aphrodisiaque (par exemple du blé et toutes les autres graines, à l'exception de la lentille) pour
rechercher une stimulation du feu sexuel, cette faim est parfois engendrée par l'appétit sensuel supérieur de
notre partenaire sexuel-le. La civilisation en expansion (avec plus d'enfants que les peuples premiers des forêts)
est basée sur l'aphrodisiaque. Le blé augmente aussi le taux de testostérone dont le taux est lié à la faim
sexuelle.
-La faim anaphrodisiaque pour calmer le feu sexuel par une aide extérieure. Le houblon de la bière par exemple.
Pour progresser vers l'inédie, quand on ressent une de ces faims, il faut écouter son ressenti, sa voix
divine intérieure, et faire attention aux démons aussi qui essaient de nous influencer et qui nous incitent à
manger. Comme lors du carême ou du ramadan.
Mais l'inédie est aussi autre chose que la compréhension et la maîtrise de la faim qu'elle soit
physique stomacale, physique sanguine, émotionnelle ou mentale, il y a aussi un travail de maîtrise à faire sur
ses 4 corps énergétiques : physique, émotionnel, mental et spirituel.
Erika Witthuhn, inédique :
« Effectivement, tant que les problèmes émotionnels ne sont pas réglés ce n'est pas la peine de vouloir
vivre de lumière. Et en fait il ne faut pas vouloir. C'est le corps lui-même qui nous fait savoir le moment
où c'est approprié ».
Un article d'Erika
qui est paru dans Planète Gaïa.
Il y a des rumeurs comme quoi dans des camps de concentration du 3ème Reich des prisonnier-e-s seraient
devenu-e-s inédiques ou à tendance inédique.
Il y a aussi des histoires extraordinaires, qui prouvent la puissance du mental, de survivant-e-s de ces camps
(pas nécessairement inédiques) qui y restaient des mois plein-e-s de joie en chantant de belles chansons
en travaillant devant leurs gardes.
Les personnes qui se nourrissent très sainement : que des fruits crus ou des jus de fruits crus, connaissent peu
la sensation de faim. Elles peuvent rester plus de 24 heures sans manger sans aucun inconfort, sans sensation de faim.
Si l'on éprouve la faim : essayer de comprendre de quel type de faim il s'agit, changer de lieu et de rythme,
se nettoyer des énergies négatives en buvant un peu d'eau, marcher quelques centaines de mètres, chercher un
événement plaisant et positif, sourire, faire le bien, remercier le restant de l'Univers. Et c'est reparti dans
l'activité avec une bonne dose de nouvelle énergie de vie. Sinon poser l'aliment devant soi, le regarder,
le sentir, le toucher, se nourrir de ses sens de l'odorat, du toucher et de la vue et ressentir ce qui se passe.
Un exercice consiste à aller dans un magasin bio et passer lentement et s'arrêter devant les aliments dans les
rayons en ressentant ses chakras, sa conscience, son intuition, son mental et en notant ce qu'il advient,
constater toute superficialité de ces désirs.
Un autre exercice que l'on pourrait qualifier d'informationnel quantique
consiste à manger un seul cassis au lieu de 40 cassis, une seule petite fraise au lieu de 10 fraises, etc.
Et de ressentir.
Pour devenir inédique il faut accepter d'être non-conformiste, d'être unique au monde, d'être merveilleux
ou merveilleuse, d'être un des instruments de l'orchestre universel. Notre aura s'étend jusqu'au confins du cosmos
et touche tout le monde ainsi que nous sommes touché-e par l'énergie cosmique de tou-te-s. D'après la science
quantique tout n'est qu'énergie et la matière de la lumière « gelée ».
Il faut aussi abandonner la séparativité, la dualité, il faut accepter de faire partie de la totalité, de la vie.
Il faudrait progresser dans la non-dualité, nous sommes à la fois femme et homme, enfant et adulte, propre et sale,
bon et méchant, encore attaché aux saveurs et partiellement détaché-e des saveurs, inédique et non-inédique,
enseignant-e et enseigné-e.
Pour Genesis Sunfire la sensation de faim n'est que la gène éprouvée et la sensation d'étirement, de tiraillement,
dans le ventre entre le haut et le bas, entre le devant du corps et le dos, causée par la rétractation,
le rétrécissement du système digestif. Il rétrécit à sa forme originelle et normale et c'est normal.